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Articles

Thème: Conflits armés

Comment panser les plaies psychologiques des Tamouls ? (novembre 2008)

Le conflit entre les Tigres tamouls et l’armée sri lankaise a jeté sur les routes des centaines de milliers de civils. Au-delà de la catastrophe humanitaire, l’impact psychologique des combats est énorme, surtout sur les enfants. Une ONG locale partenaire de MSF-Hollande et de l’Unicef tente de limiter les traumatismes.


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Revivre ensemble (octobre 2008)

Si un règlement pacifique est trouvé à ce conflit, sera-t-il possible pour les deux grandes communautés de cohabiter sans trop de heurts ?


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La guerre contre les médias (octobre 2008)

Au moins 12 professionnels de médias ont été tués ces 36 derniers mois, sans qu’aucune enquête n’aboutisse à une condamnation. Le message du gouvernement aux médias est clair : si vous n’êtes pas avec nous, vous êtes contre nous…


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Terreur chez les Tamouls (octobre 2008)

La population tamoule du nord du Sri Lanka est la principale victime du conflit entre les Tigres et l’armée régulière. Entre rafles, disparitions, tortures et coups de canon, elle vit dans une tension permanente.


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Que reste-t-il des Tigres ? (octobre 2008)

Le prestige des Tigres auprès de la population n’est plus ce qu’il était. Décryptage.


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A quand la paix en Ouganda ? (février 2006)

Depuis 1986, 100.000 personnes ont péri dans le conflit qui oppose l’armée ougandaise à l’Armée de libération du Seigneur, un mouvement constitué principalement d’enfants enlevés et contraints à se battre. Si la cruauté des rebelles terrorise la population civile du nord de l’Ouganda, de grandes questions se posent sur la volonté réelle du gouvernement ougandais d’aboutir à la paix.


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La loi du silence (février 2006)

Avoir un proche employé par le gouvernement, ne pas bien répondre à une question, signaler à l’armée ougandaise l’une ou l’autre attaque… La LRA ne manque pas de prétextes pour torturer les habitants du nord de l’Ouganda. Le découpage des lèvres est l’une des mutilations qu’ils imposent le plus souvent.


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Les migrants de la nuit (février 2006)

Chaque nuit, environ 30.000 enfants du nord de l’Ouganda fuient leur domicile à la recherche d’un endroit relativement sûr pour dormir, dans les villes ou dans des camps de personnes déplacées (1).


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25.000 enfances volées (février 2006)

La LRA se compose principalement d’enfants enlevés dans le nord de l’Ouganda. Contraints à se battre contre l’armée ougandaise et à commettre les pires exactions contre leurs propres communautés, certains parviennent à s’échapper ou sont capturés par les forces gouvernementales. Leur retour à une vie normale passe par des centres de réhabilitation.


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L’enfer en travers de la gorge (février 2006)

Jacqueline Ajok a 17 ans. Enlevée à l’âge de 8 ans, son histoire est typique des atrocités vécues par les 25.000 enfants enrôlés de force dans la LRA depuis 1986. Battue, offerte comme épouse à un commandant, elle ne doit sa liberté qu’à un combat perdu par les rebelles contre l’armée ougandaise, qui l’a ramenée parmi les siens. Un fragment d’obus est logé dans son larynx depuis ce combat, c’est donc en chuchotant qu’elle nous raconte son parcours.


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Le nord déplacé (février 2006)

La quasi-totalité de la population rurale du nord de l’Ouganda doit se résoudre à habiter dans des camps de personnes déplacées pour se protéger des attaques rebelles. Les conditions de vie dans ces camps surpeuplés font voler en éclats les valeurs traditionnelles.


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L’impossible retour (janvier 1999)

S’il est un problème qui empoisonne la reconstruction en Bosnie-Herzégovine, c’est celui des personnes déplacées dans le pays ou réfugiées à l’étranger. Elles sont deux millions à avoir fui la guerre et l’« épuration ethnique ». Les trois quarts ne sont pas encore rentrées dans leur région d’origine. Elles vivent dans des centres collectifs ou dans les logements désertés par les anciens adversaires.


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C’est dans la tête, docteur (janvier 1999)

Par-delà toutes les douleurs physiques endurées pendant la guerre, c’est la souffrance psychique qui demeure la plus intense en Bosnie. Témoins d’atrocités, femmes violées, enfants délaissés, familles déchirées ou déplacées, ... : les syndromes post-traumatiques sont d’autant plus intenses qu’ils sont vécus dans une situation économique et sociale très difficile. Les « psys » tentent de briser la loi du silence.


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photoLe rêve dominicain des Haïtiens vire souvent au cauchemar

Des dizaines de milliers d’Haïtiens fuient chaque année la pauvreté pour tenter leur chance dans le pays voisin, la République dominicaine. Dépourvus de documents de voyage, la plupart contactent des passeurs supposés les aider à traverser clandestinement la frontière. Du « simple » bakchich au viol en passant par les coups de machette et d’autres abus, les rêves d’eldorado peuvent virer au cauchemar.

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Dernière interview

photo« Le plus important pour eux est d’instaurer la peur chez les citoyens »

La répression des activités syndicales est de plus en plus grave au Swaziland. Arrestations arbitraires, menaces, passages à tabac se succèdent pour réduire au silence les militants. Barnes Dlamini, président de la fédération syndicale SFTU (Swaziland Federation of Trade Union), a été arrêté à plusieurs reprises en 2011. Il fait le point sur cette situation.

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